L'emprisonnée Pourquoi ces sangles ??? Je ne peux m'échapper d'ici... Les portes sont fermées... Je les entends arriver... Des pas qui résonnent... Je ne veux vous abandonner... Je ne décide plus de rien... Tout ici n'est que neige... Je suis aveuglé
Artist:dark sanctuary Songs Title:le cachot La lourde porte se refermait Laissant en ses murs une ame trompée Un esprit incompris Une femme démunie Je ne suis ici que pestilence à demi-nue Qui erre avec ces lourdes chanes Ensanglantant mes pieds et m
La rêveuse Music by Hylgaryss, Lyrics by Dame Pandora J'ai baissé mon capuchon rouge Sur mes yeux humides... Oh comme j'aimerais m'échapper Et me perdre dans le reflet De ce miroir doré (oh miroir... dis moi...). La tête dans les nuages... Je rêve de
L'arrogance [Music by Arkdae, Lyrics by Sombre Cÿr] "Triste fin, Triste Destin Que d'invoquer La Mort... Par cette corde Autour de mon cou Je clame mon arrogance... Par ce geste lâche A la vue des mortels J'affirme mon désir... Celui de rendre solenn
L'Etre de Décembre Recueille les déviants oubliés Au fin fond de sa démence A emmené mon aimé Mon étreinte glacée vaut mieux qu'un chemin perdu et en moi le refuge se fait jour L'abysse de ton âme est ma lumière Le gouffre de tes peurs nous perd, mon
Mais que vienne l'obscurité Car le temps je pense N'est plus à l'innocence "Omnes gurgites tui et fluctus tui super me transierunt" (Jonas, II) L'être de Décembre contre Mon âme de feu et de cendres A tutoyer le vide La peur m'a abandonnée Tous
La neige craque sous mes pas, Bruit sombre et glacial, Et cette triste comptine du vent, Qui sonne ici le dernier glas, Et déjà le ciel s'entrouvre pour l'Enfant, La neige s'efface devant mes yeux, Mes pas s'éloignent de moi, Quand le froid s'efface
La Clameur du Silence Glisser lentement dans l'oubli Perdre doucement toute notion de vie Accrochée à rien je me noie dans les méandres de souvenirs que je n'ai pas... (Voilà des siècles que j'erre...) De volutes en volutes glisser Des soupçons d'âme
L'ombre Triste [Music by Arkdae, Lyrics by M.Camu] Les ailes collées par ton sang au pavé et le jour qui éclaire ton spectre écrasé. Parfois tu me fais peur, tu me fais voir la mort au fond de l'abîme, au milieu de la rue Tu ressembles à cette feuill